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LA MOME MONTE-CARLO

Certains films sont des classiques, des incontournables. Œuvres indémodables qu’on aime à voir plusieurs fois, en y ressentant toujours autant de plaisir. Ainsi en est-il des établissements du Groupe La Môme.

A la tête de cette production : Antoine et Ugo Lecorché qui ouvrirent en 2015 le premier chapitre d’histoires qui se dérouleraient à la belle époque de la Côte d’Azur. Ce fut tout d’abord l’élégante et glamour La Môme où se croisent une clientèle chic et locale et des hôtes venus du monde entier. Puis son cocktail bar inspiré des mythiques bars new-yorkais où il n’était pas impossible de rencontrer une femme en étole de fourrure et son verre à la main. Puis, à quelques pas de là, sur la célèbre Croisette, la  Môme Plage et son inspiration French Riviera des années 50, où l’on imaginerait bien starlettes et réalisateurs de la nouvelle vague. 

"…Leur vision de cet espace incroyable ? Une scène de film, et plus particulièrement d’un film : « La Main au Collet ». Fortement inspirée par Grace Kelly dans cette oeuvre d’Alfred Hichcock, leur écriture de la décoration est définitivement féminine…"

Il fallait alors une destination tout aussi emblématique pour inaugurer à l’étranger, le premier épisode de cette jolie saga à succès. Une adresse où l’on croiserait James Bond au Casino,  où les célébrités arpentent les eaux d’un petit port luxueux en Riva et où une actrice de renommée internationale devint un jour une Princesse : Monaco ! C’est ainsi qu’à quelques mètres à vol d’oiseau du rocher, la Môme Monte-Carlo a commencé à écrire son histoire.

Antoine et Ugo Lecorché signent ici une œuvre majeure dans l’esprit de la Môme Cannes, avec un établissement accueillant jusqu’à 220 couverts pour le déjeuner et le dîner, dans un cadre de rêve sur la terrasse du Port Palace. Pour l’environnement, la mer avec le port de Monaco habillé de ses yachts, le Palais Princier en scène centrale, le tout longé par la route où se doublent avec frénésie les voitures du Grand Prix. Pour diriger l’établissement, accompagné du directeur des opérations Freddy Araneo, un directeur au palmarès déjà très étoffé, Luigi Visciano. Officiant depuis plus de 25 ans à Monaco, il a dirigé des restaurants de renom et souvent dans des hôtels monégasques prestigieux tels que l’Hôtel de Paris, l’Hôtel Hermitage ou le Métropole. Un professionnalisme et surtout un charisme « à l’italienne » tout à fait légitimes dans ce restaurant à forte promesse.

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Pour le décor, deux architectes d’intérieur aux talents artistiques avérés : Soraya Djemmi-Wagner et Maxime Liautard, respectivement directrice générale associée et architecte fondateur de l’agence « Liautard and the Queen ». Une version décalée d’un art de l’intérieur très maîtrisé. Leur vision de cet espace incroyable ? Une scène de film, et plus particulièrement d’un film : « La Main au Collet ». Fortement inspirée par Grace Kelly dans cette oeuvre d’Alfred Hichcock, leur écriture de la décoration est définitivement féminine. Dans l’usage des tons bleus et clairs, dans les formes douces et chaleureuses, dans les scenarii de lumières selon les moments du jour et de la nuit. Une façon de revisiter l’histoire du lieu et de l’œuvre cinématographique. En effet, leur conception du décor s’appuie toujours sur l’existant : ne rien écraser, juste remettre en lumière. Ils on ainsi conservé les lignes et les plateaux auxquels ils ont donné un rythme différent avec les couleurs, les motifs et les éclairages. Pour cela, l’habillage d’assises emblématiques de designers de renom, mais recouvertes de tissu en zèbre bleu ; des matériaux nobles enveloppés de matières aux couleurs douces pour créer une atmosphère apaisante venant rythmer le vaste espace ouvert sur la mer. Un accueil à l’ancienne, avec une caissière, une bibliothèque style cabinet de curiosités, sans oublier la pièce bijou du restaurant : la « private room ». Pouvant accueillir jusqu’à une quinzaine de personnes, cet espace nimbé de vert est comme un silence après l’excitation ressentie à l’intérieur et sur la terrasse du restaurant.

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Un décor où il fait bon passer du temps ... et surtout où il fait bon déjeuner et diner. A la réalisation des plats, accompagné du Chef Alexandre Elia, chef du restaurant la Môme Plage, c’est au chef de cuisine Benjamin Zannier, que revient la Palme culinaire. Au menu des spécialités méditerranéennes aux influences provençales, italiennes ou grecques : l’aubergine fumée à la flamme sauce vierge et crème de piquillos, la belle salade de roquette, pecorino et truffe d’été ou le Tiradito de sériole comme un tzatziki. On y déguste des salades et entrées fraîches et colorées et surtout des spécialités de poissons. En effet, même dans les assiettes on conserve le passé de ce lieu mythique où il était de coutume de manger du poisson. De nombreuses spécialités de la mer sont servies telles que le poulpe croquant au yaourt fumé, le thon mi-cuit à la plancha en note d’agrumes ou les poissons grillés. Des poissons frais livrés par un pêcheur monégasque devenu le nouvel acteur de ce scénario bientôt célèbre. Et s’il y a de la douceur dans les décors, il y en a forcément dans les assiettes avec les incontournables de la maison : la gaufre et ses trois sauces chantilly, caramel et chocolat ou encore son cookie légendaire.

La Môme Monte-Carlo est d’ores et déjà ce nouveau lieu emblématique où il fera bon de s’arrêter pour déjeuner, avec ou sans bateau, et toujours diner entre amis ou en tête-à-tête, histoire de devenir les acteurs d’un moment qui deviendra pour vous un instant de légende !

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